"Confort d'été en période de surchauffe avec les moyens du bord" était le thème de la conférence annuelle du SLIME du 12 juin 2024, organisée par la Ville de Besançon et Grand Besançon Métropole.

Une cinquantaine de travailleurs sociaux sont repartis mieux outillés pour répondre aux ménages en situation de précarité énergétique et de leur proposer des solutions adaptées pour améliorer leur confort en période de canicule.

Au menu, les bases de la thermique humaine, comment éviter de charger son corps en chaleur, comment le rafraichir, avant d'identifier les bons gestes à faire chez soi.


Après un bilan des opérations réalisées comme la distribution de caleçons longs aux étudiants cet hiver, c'était également l'occasion de présenter le dispositif Territoires Zéro Exclusion Énergétique.

 

Nota : Le programme Slime vise à massifier le repérage, l’orientation et l’accompagnement des ménages en situation de précarité énergétique.


Crédit photo :  Philippe Héritier

La low-tech est une approche technologique qui privilégie la durabilité, la simplicité et la sobriété, en opposé au l’high-tech.

 

Voici 3 critères pour "valider" qu'un objet/process/produit est low-tech :

 

  • Utilité :
    • Les solutions low-tech sont utiles, répondant précisément aux besoins sans superflu.
    • Leur conception est équilibrée par rapport au besoin spécifique.
    • Elles sont proportionnées et centrées sur l’essentiel.
    • L’objectif est d’atteindre l’optimum technologique sans excès.
    • Elles sont appropriées pour leur contexte d’utilisation.
  • Accessibilité :
    • Les solutions low-tech sont facilement accessibles à tous.
    • Elles sont simples d’accès et appropriables.
    • Elles favorisent l’autonomisation des utilisateurs.
    • Leur conception est ouverte, évolutive et flexible.
  • Durabilité :
    • Les solutions low-tech sont durables et non-fragiles.
    • Elles peuvent être conservées et adaptées dans le futur.
    • Leur viabilité à long terme est essentielle.
    • Elles privilégient la sobriété, la décroissance et le respect du vivant.
C'est également une méthodologie centrée sur le besoin

La low-tech n'est pas seulement une approche technologique, c'est aussi une méthodologie. Elle commence par un questionnement profond du besoin, souvent en utilisant la méthode des cinq pourquoi. Cette technique, popularisée par Toyota, consiste à poser la question "Pourquoi ?" à plusieurs reprises pour identifier la cause profonde d'un problème. En requestionnant systématiquement le besoin, on s'assure que la solution proposée répond vraiment à la problématique initiale, évitant ainsi les solutions superficielles ou excessivement compliquées.

 

Les avantages de la low-tech

Adopter une approche low-tech présente de nombreux avantages. D'un point de vue environnemental, ces technologies contribuent à réduire notre empreinte écologique en utilisant moins de matériaux et d'énergie. Elles encouragent également la sobriété énergétique, ce qui est essentiel dans le contexte actuel de crise climatique. Sur le plan économique, les solutions low-tech sont souvent moins coûteuses à produire et à maintenir, ce qui les rend particulièrement attractives. En termes sociaux, elles favorisent l'inclusion en étant accessibles à tous, indépendamment du niveau de compétence technique ou des ressources disponibles.

 
Les applications concrètes de la low-tech

Les exemples de technologies low-tech sont variés et couvrent de nombreux domaines. Dans l'habitat, on peut citer les maisons en terre crue ou en paille, qui offrent une excellente isolation thermique avec des matériaux naturels et locaux. En matière d'énergie, les panneaux solaires permettent de produire de l'énergie renouvelable de manière autonome. Dans le domaine de l'eau, les systèmes de récupération et de filtration des eaux de pluie sont des solutions simples et efficaces pour répondre aux besoins en eau potable. Ces technologies illustrent bien comment la low-tech peut être mise en pratique pour répondre à des besoins fondamentaux de manière durable et accessible.

 

Pour aller plus loin, nous vous invitons à consulter la bibliothèque du Low-tech Lab et notamment les ressources suivantes :

 

Qui n'a jamais rêvé de tester la vie de château ? 🏰

Peut-être oui, mais sans les ruines et les inconforts de ces grands espaces !

 

Au début de l'été dernier, j’ai accepté l’invitation de Caroline Envain 🧱 pour passer sur le podcast de Au Bercail 🏡 !

 

Pourquoi ?

 

🏡 Pour défendre cette vision de simplifier l’information autour de l’habitat éthique,

 

✊ Pour informer sur le sujet du chauffage et du confort des grandes bâtisses anciennes ayant déjà traversé plusieurs générations qui s'adapter doivent aux enjeux énergétiques de notre siècle,

🔥 Pour rejoindre cette communauté bienveillante qui veut bouger les choses.
 
Vous voulez entendre notre échange ?

 

Nous explorons les secrets de la transformation de ces trésors historiques en habitats éthiques et confortables.

🎙️ Au programme :

1️⃣ Comment préserver l'historique de ces bâtiments tout en améliorant le confort sans exploser le budget ?

2️⃣ Découvre les tendances de réhabilitation actuelles pour ces bâtiments majestueux. De l'habitat partagé à l'hôtel rustique, les possibilités sont infinies.

3️⃣ Tu veux en savoir plus sur les défis de la rénovation tout en préservant l'histoire du lieu ?

4️⃣ Quels systèmes de chauffage sont adaptés pour ces joyaux architecturaux ?

5️⃣ Enfin, découvre un exemple de réhabilitation d'un presbytère en habitat partagé intergénérationnel et passif.

 

Et bien plus encore ! 🔥

 

La vie de château, c'est par ici 🏰💫 : https://podcast.ausha.co/au-bercail/22-comment-reinventer-les-maisons-de-maitre-et-chateaux-pour-repondre-aux-defis-du-xxie-siecle-fabrice-chamoret

 

L'énergie fait partie de nos quotidiens : chauffer son café, aller au travail en voiture, utiliser son smartphone, etc.

 

Richard Feynman, prix Nobel de physique en 1965, disait « la Nature ne peut pas être dupée » c'est-à-dire que si nos discours, notamment à propos de l'énergie, ne tiennent pas compte de ce que nous savons, notamment par la physique, alors il n'y a aucune chance que les propositions publiques qui sont faites s’actualisent un jour.

Il faut apprendre à parler correctement de l'énergie en rendant justice à ce que nous savons et ce qu'on sait depuis la fin du 19ᵉ siècle.

 L'énergie est une grandeur abstraite, qui a la propriété de se conserver.

Un théorème très puissant découvert en 1918 par Emmy Noether, mathématicienne, montre que la conservation de l'énergie, c'est la conséquence du fait que les lois physiques sont les mêmes à tous les instants du temps.

Ainsi les lois physiques sont les mêmes à tous les instants du temps et cette invariance par translation du temps a pour conséquence la conservation de l'énergie.

 

Si l'énergie se conserve, ça veut dire :

  1. Premièrement :

Nous ne pouvons pas en produire, en tout cas pas à partir de rien.

La première condition pour avoir de l'énergie, c'est d'avoir de l'énergie. Et une fois qu’elle est là, la seule possibilité que nous avons, c'est la transférer d'un système à un autre ou bien changer sa forme d’énergie. Par exemple, si elle est électrique, elle peut devenir thermique ou autre (mécanique, etc.).

  1. Deuxièmement :

Grâce à la physique, nous apprenons que nous ne pouvons pas non plus consommer d'énergie qu’au départ. Par exemple, quand vous mettez 1 litre d'essence dans le réservoir de votre voiture, vous roulez et au bout d'un certain temps, le réservoir se vide. Vous n'avez pas consommé l'énergie, vous avez simplement transformé l'énergie qui était dans le litre d'essence en chaleur puis en énergie mécanique, dans la même quantité à la fin et au début.

Donc en termes de physique, ça signifie que vous avez produit de l'entropie, c'est-à-dire que vous avez dégradé la forme de l'énergie sans modifier sa quantité.

Nous ne pouvons pas consommer d'énergie.

  1. Troisièmement

Il n'y a pas d'énergie renouvelable au sens propre du terme, ce qui est renouvelable, c'est le flux d'énergie primaire que nous utilisons. Mais une fois que nous avons consommé une unité d'énergie renouvelable (un kilowattheure par exemple), elle a disparu, elle n’est pas renouvelée, Ce qui va être renouvelé, c'est la source qui va permettre d'en consommer une autre dose, ce qui n'est pas du tout le même message !

 

Maintenant la question posée de l'énergie, et que nous la couplons à la question du climat, cela devient un sujet d'une complexité vertigineuse.

Ainsi, en observant comme spectateur ou citoyen les débats publics, nous remarquons une certaine décorrélation entre militance et compétence, militance, étant pour ou contre.

 

Si nous pensons pro-nucléaire, nous sommes donc pour la construction de nouvelles centrales et si nous sommes anti-nucléaires, nous sommes contre. Mais la majorité des pro ou anti-nucléaires ne sait pourquoi c'est l'uranium qui est utilisé et pas de l'aluminium ou du krypton.

C'est comme si le fait d'avoir une opinion tranchée sur ces questions dédouanait de l'obligation de s'instruire ? Et dès lors qu'on se dédouane de l'obligation de s'instruire, les débats deviennent des histoires d'affect, oubliant les lois de la physique.

Nous opposons souvent les énergies renouvelables et les fossiles, mais les énergies dites renouvelables, l'éolien, le photovoltaïque, l'hydroélectrique, ne sont pas indépendantes des énergies fossiles.

Pour fabriquer un panneau photovoltaïque ou une éolienne, il faut utiliser des métaux, qu'il a fallu extraire, transporter, etc Tout ça demande de l'énergie, notamment issue des énergies fossiles.

 

Bref, toutes les formes d'énergie, dites renouvelables ou non, sont  intriquées entre elles.

 

Illustration : Julius Robert von Mayer qui formula le premier principe de la thermodynamique. Il fut l'un des pionniers dans ce domaine de la physique, et ses œuvres et études permettront plus tard de créer des machines telles que les éoliennes.

L’étanchéité à l’air des bâtiments anciens : Pourquoi réaliser un test d’infiltrométrie lors d’une rénovation énergétique ?

 

La rénovation énergétique des bâtiments anciens est un enjeu crucial pour améliorer le confort des habitants et réduire les consommations d'énergie. Bien que l'isolation thermique soit souvent perçue comme la solution la plus efficace pour diminuer les pertes de chaleur, l'étanchéité à l'air est tout aussi importante et complémentaire. Un test d'infiltrométrie permet de détecter les fuites d'air et d'optimiser la performance énergétique globale du bâtiment. Cet article explore l'importance de l'étanchéité à l'air et les avantages d'un test d'infiltrométrie dans le cadre de la rénovation énergétique.

Comprendre l’étanchéité à l’air

L'étanchéité à l'air d'un bâtiment désigne sa capacité à empêcher l'air non contrôlé d'entrer ou de sortir. Les bâtiments anciens, construits avec des techniques et des matériaux moins performants que ceux utilisés aujourd'hui, présentent souvent une mauvaise étanchéité à l'air. Les raisons pour lesquelles l'étanchéité à l'air est cruciale incluent :

  • Réduction des pertes de chaleur : Une mauvaise étanchéité à l'air peut causer jusqu'à 25% des pertes de chaleur d'un bâtiment. En améliorant l'étanchéité, on réduit ces pertes et donc les besoins en chauffage.
  • Amélioration du confort thermique : Une bonne étanchéité permet d'éliminer les courants d'air froids, améliorant ainsi le confort des occupants.
  • Prévention des dommages structurels : Les infiltrations d'air peuvent entraîner des problèmes d'humidité et de condensation, susceptibles de causer des dégâts aux structures et de favoriser la croissance de moisissures.
  • Efficacité des systèmes de ventilation : Une étanchéité à l'air adéquate permet aux systèmes de ventilation mécanique contrôlée (VMC) de fonctionner de manière optimale, garantissant une meilleure qualité de l'air intérieur.

Le test d’infiltrométrie : une solution clé

Le test d'infiltrométrie, également connu sous le nom de blower door test, est une méthode de mesure de la perméabilité à l'air d'un bâtiment. Ce test consiste à installer un ventilateur dans l'encadrement d'une porte pour créer une différence de pression entre l'intérieur et l'extérieur du bâtiment. Les variations de pression révèlent les fuites d'air, qui peuvent ensuite être localisées et colmatées.

Les avantages de réaliser un test d’infiltrométrie sont multiples :

  • Diagnostic précis des fuites : Un test d'infiltrométrie permet d'identifier précisément les zones de fuites, permettant une intervention ciblée pour les colmater.
  • Optimisation des travaux de rénovation : En connaissant les points faibles du bâtiment, les travaux de rénovation peuvent être priorisés et planifiés de manière plus efficace.
  • Mesure de l’efficacité des travaux : Un test avant et après les travaux permet de vérifier l’amélioration de l’étanchéité à l’air et de quantifier les gains énergétiques obtenus.
  • Réduction des coûts énergétiques : En améliorant l'étanchéité à l'air, les besoins en chauffage et en climatisation diminuent, réduisant ainsi les factures d'énergie.

Données chiffrées sur les gains énergétiques

Pour mieux comprendre l'impact de l'étanchéité à l'air sur les économies d'énergie, examinons quelques données chiffrées :

  1. Réduction des pertes de chaleur : Selon l'ADEME, une bonne étanchéité à l'air peut réduire les pertes de chaleur de 20 à 30%. Cela signifie qu'un bâtiment qui perdait 100 kWh de chaleur par an pourrait réduire ces pertes à 70-80 kWh grâce à une meilleure étanchéité.

  2. Diminution des besoins en chauffage : Une étude de l'Agence Internationale de l'Énergie (AIE) montre qu'améliorer l'étanchéité à l'air peut réduire les besoins en chauffage de 15 à 20%. Par exemple, si un bâtiment consomme 10 000 kWh par an pour le chauffage, cette consommation pourrait diminuer de 1 500 à 2 000 kWh.

  3. Économies financières : En prenant un coût moyen de l'énergie de 0,15 € par kWh, une réduction de 2 000 kWh par an se traduit par une économie de 300 € par an sur les factures énergétiques.

  4. Retour sur investissement : Les coûts pour améliorer l'étanchéité à l'air varient, mais supposons un investissement initial de 2 000 €. Avec une économie annuelle de 300 €, le retour sur investissement serait atteint en environ 6-7 ans, sans compter les bénéfices en termes de confort et de durabilité du bâtiment.

L’étanchéité à l’air versus l’isolation : une complémentarité indispensable

Beaucoup de propriétaires pensent que l'isolation est la seule solution pour améliorer l'efficacité énergétique de leur bâtiment. Bien que l'isolation soit essentielle pour réduire les transferts de chaleur à travers les parois, elle doit être complétée par une bonne étanchéité à l'air pour maximiser les économies d'énergie. Voici quelques points clés sur cette complémentarité :

  • Efficacité énergétique globale : Une isolation performante combinée à une bonne étanchéité à l'air permet de minimiser les pertes thermiques par conduction et par convection.
  • Retour sur investissement : Les travaux d’étanchéité à l'air sont souvent moins coûteux et plus rapides à réaliser que l'isolation des parois. De plus, ils permettent de maximiser le retour sur investissement des travaux d'isolation.
  • Performance des matériaux isolants : Les matériaux isolants perdent une partie de leur efficacité en présence de courants d'air. Une bonne étanchéité à l'air assure que l'isolation fonctionne à son plein potentiel.
  • Durabilité des travaux : L'étanchéité à l'air protège les matériaux isolants et les structures du bâtiment des infiltrations d'humidité, prolongeant ainsi leur durée de vie.

Études de cas et exemples pratiques

Exemple 1 : Une maison individuelle des années 1950

Prenons l'exemple d'une maison individuelle des années 1950 qui a subi un test d'infiltrométrie avant rénovation. Les résultats ont montré des fuites importantes autour des fenêtres, des portes et dans le grenier. Après colmatage des fuites et amélioration de l'étanchéité à l'air, un second test a révélé une réduction des pertes de chaleur de 25%, conduisant à une baisse significative des factures de chauffage. Si cette maison consommait initialement 15 000 kWh par an pour le chauffage, cette consommation a été réduite de 3 750 kWh, ce qui représente une économie annuelle de 562,50 € (à 0,15 €/kWh).

Exemple 2 : Un immeuble de bureaux du début du XXe siècle

Un autre exemple concerne un immeuble de bureaux construit au début du XXe siècle. Après un test d'infiltrométrie, des fuites d'air ont été détectées à travers les murs extérieurs et les plafonds. En améliorant l'étanchéité à l'air, l'efficacité des systèmes de chauffage et de climatisation a été optimisée, réduisant les coûts énergétiques de 20%. Si cet immeuble dépensait initialement 50 000 € par an en énergie, l'amélioration de l'étanchéité a permis une économie annuelle de 10 000 €.

Conclusion

L'étanchéité à l'air des bâtiments anciens est un élément essentiel pour améliorer leur performance énergétique. Un test d'infiltrométrie permet de diagnostiquer précisément les fuites d'air et de planifier des interventions efficaces pour les colmater. En complément de l'isolation, l'étanchéité à l'air assure une réduction significative des pertes de chaleur, une meilleure qualité de l'air intérieur et une réduction des coûts énergétiques. Pour une rénovation énergétique réussie, il est crucial de considérer l'étanchéité à l'air comme une priorité.

 

Références

  1. ADEME (Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie) : "Guide pratique : L'étanchéité à l'air des bâtiments."
  2. AQC (Agence Qualité Construction) : "Défauts d’étanchéité à l’air"
  3. Agence Internationale de l'Énergie (AIE) : "Energy Efficiency 2020"

Au cours de ma formation de Désigner Énergétique avec INCUB, j'ai testé la méthode dans ma maison et ... 

Ma consommation de gaz a baissé de plus de 43 % entre l'hiver 2021/2022 et 2022/2023... sans faire de travaux !

Et pourtant, mon bureau est à la maison ! J'y suis quasi 7 jours sur 7.

Ce qui a essentiellement changé est notre comportement. 

Mais pour maintenir notre confort, j'ai un peu investi, pour moins de 100 €, dans quelques solutions techniques adaptées.

Et vous, elles vous disent quoi vos consommations d'énergie ? Elles augmentent, diminuent, stagnent ?

 

Parlons-en quand vous voulez pour vous préparer d'ici à l'hiver prochain !

La dernière réglementation environnementale RE 2020 ne propose pas de repères permettant de fiabiliser les résultats de performance énergétique, mais a comme intérêt d’étudier l’Analyse du Cycle de Vie (ACV) du futur bâtiment.

Ainsi, nous confirmons aux maîtres d’ouvrage ayant un projet de construction neuve de prendre en référence l’approche de la méthode passive, et son logiciel PHPP pour étudier et garantir :

  • La performance énergétique
  • Le confort des occupants hiver comme été (avec une température d’ambiance entre 21°C et 25°C,

Et bien sûr, pour être vertueux et conforme à la RE 2020, nous y inclurons l’utilisation de matériaux bruts ou biosourcés.
Les avantages seront multiples avec un coût quasi-similaire à celui d’un bâtiment juste réglementaire.

Mais avant tout, rappelons que construire ne peut désormais se justifier que si aucune possibilité n’est possible par la réhabilitation d’un bâtiment existant.

Pour rappel, 90% des bâtiments sont déjà construits et 80 % sont à rénover car ayant été construits avant la mise en place de normes environnementales.

Et la loi Climat et Résilience inclut un objectif de « Zéro artificialisation nette » des sols (ZAN) visant à ralentir le rythme de l'urbanisation à zéro à l’horizon 2050, au profit des espaces naturels.

 

Construire un bâtiment RE2020 = obligation de moyens 

VS

Construire un bâtiment passif = obligation de résultat

 

En 2024, le coût de construction d'une maison passive est d'environ 3 200 € TTC / m² de surface habitable (permis de construire, études techniques, suivi de chantier, certification).

 

 

Vous avez un projet, une problématique à resoudre ?

 

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